Azûlay Y. Sanhadji
NOMBRE DE MESSAGES : 3 DATE D'INSCRIPTION : 02/12/2009 PSEUDO : Patate.
CARNÉ DE ESTUDIANTE carnet d'adresses: nationalité: Saoudienne.
| Sujet: Azûlay.Sanhadji [u ; c] Mer 2 Déc - 22:32 | |
| AZÛLAY, YOYADA SANHADJI played by David Gandy.
Nom, prénoms : Sanhadji Azûlay Yoyada. Quiconque s’y connaît quelque peu peut, juste à son nom, reconnaître ses origines pas tout à fait marocaines, sans attaches. Azûlay est un targui, ou touareg si vous préférez. Il tient ses origines de sa mère, qui lui a d'ailleurs donné le prénom d’Azûlay en plus de ses yeux clairs. Azûlay, qui signifie « celui qui a de beaux yeux », et convient donc parfaitement au jeune homme. Mais ce second prénom, Yoyada, qu’il est étrange ! Un prénom juif, alors qu’il est musulman. C’est à n’y rien comprendre. Date & lieu de naissance : Azûlay est né à Jizan, En Arabie Saoudite, le huit février 1982. Nationalité : Saoudien, quoi d'autre ? . . Ma belle inhumaine, je sais que cette épître jamais tu n’ouvriras, alors rien que pour ton silence et ton ignorance, j’écrirais. J’écriai à propos des lézards. Tu sais à quel point j’aime tout ce qui te répugne, que je suis heureux à caresser une mygale, que je suis heureux quand j’égorge moi-même le mouton. Et certainement que les lézards, qui me passionnent tant, ne te sont qu’horreurs. Je le sais, même si tu ne me l’as jamais dit. Je le sais, parce que tout ce que j’aime te répugne. Et de cette conclusion je tire mon idiotie passé : puisque tu t’aimes, comme le prouve ta fâcheuse tendance à vider mon compte en banque pour des pédicures, des épilations, des séances de sport onéreuses alors que tu pourrais tout simplement t’acheter comme tout le monde du vernis, un coupe-ongle, une pince à épiler au super marché du coin et aller courir chaque dimanche matin dans la rue. Puisque tu t’aimes, comment ai-je pu t’aimer ? La lueur vive dans tes yeux que je voyais danser, que je croyais être une joie enfantine n’était qu’une connerie sans bornes. Ton rire si haut perché, que j’adorais tant, avec le temps m’a percé les tympans, et quand je te vois danser à présent, je m’horrifie de tes gros seins qui même soutenus par ton soutien valsent d’un côté et de l’autre, comme les pis d’une vache. Je t’aimais, mais l’erreur est réparée, puisque je ne t’aime plus. Ah, si tu lisais cette lettre, certainement que tu m’en enverrais une autre, une autre pleine de reproches, une lettre qui se voudrait infâme, humiliante, mais tout ce que tu parviendras à faire, c’est me faire rire, de tous mes crocs que je planterai encore plus fort en toi par la suite, métaphore de ma plume qui crissant sur le papier n’en sera que plus brutale avec toi, mon lézard. Car je suis le tout-puissant dans cette affaire. C’est toi qui es partie du nid, et je t’y ai fortement aidée, il est vrai. Certainement vas-tu penser que je t’aime encore, avec ton indéfectible optimisme. Mais tu sais, c’est juste parce que tu t’es glissée dans mon nid, dans mon lit, c’est juste pour ça qu’encore hier je te baisais. Oh, j’oubliais, tu préfères comme mots « faire l’amour »… Mais nous ne faisions pas l’amour ma chérie, puisque je ne t’aime pas. C’est là qu’intervient la comparaison aux lézards. Dans ce lit, nous étions comme dans un trou, où souvent s’y blottissent les reptiles. Un tout petit trou. Et par leur proximité, il est naturel qu’ils s’accouplent plus souvent ensemble qu’avec des partenaires étrangers, rencontrés juste une fois. Ah, ne croit pas à ma fidélité ! Si j’en ai fait vœu, c’était en croisant les doigts, car depuis le début, tu m’horripiles. Je t’ai trompé avec tout ce qui me passait sous la main, allant de l’adolescente en voyage scolaire jusqu’avec notre gouvernante. Ce n’était pas des gamineries, comme tu aimes qualifier tous mes actes. C’était du sérieux, c’était irrépressible que de tenter de t échapper de cette façon, que de te souiller pareillement, que de briser notre union sacrée par nos familles, sans même mon accord. Ta famille s’est débarrassée de toi, a prié la mienne de t’accepter comme ma femme, alors que le seul geste attentif que j’avais eu avec toi fut de te donner un mouchoir alors que tu avais la morve au nez. Et comme j’étais jeune, plus jeune que toi-même, on ne prit pas la peine de me consulter pour me marier. J’avais à peine seize ans, je n’étais pas encore majeur légalement. Et si cela a duré tant d’années, c’est que j’espérais un jour te voir crever, avec ta soi-disant santé fragile… Que nenni. Je ne t’aime pas, tu es trop vieille, tu es trop mature, tu ne me laisses pas respirer. Je suis content d’avoir divorcé. Crétine.
Ton Azûlay, qui ne t’aime plus. Latifa resta inerte. Ni la haine, ni la rage ne l’abattait, mais qu’une tristesse devenue habituelle chez elle. Azûlay était devenu fou, définitivement. La mort annoncée par les médecins de sa fille, Dihya, l’avait peu à peu fait chuter dans une terrible dépression, qui hélas ne sauva pas l’enfant. C’était devant son corps froid, son visage fermé que l’artiste, pourtant si réputé pour sa sagesse, perdit tout ses sens. Il hurla, l’attrapa et la secoua, toute raide dans sa glaciale décomposition, et n’ouvrit pas les yeux alors que son père lui ordonnait de se réveiller. C’était sa perle, sa raison d’aller de l’avant et de toujours se montrer droit, parfait modèle pour une éducation parfaite. Il gagnait des millions par la vente de ses tableaux, des millions de gouttes d’eau dans l’empire pétrolier dont il avait en partie hérité, bien que ce soit son frère qui en était à la tête. Latifa ne prenait pas mal se divorce, et même, cela la soulageait. La vie était devenue impossible avec Azûlay, qui confondait tout. Passé, présent, avenir… Qui confondait ce que les gens pensaient de lui, qui s’imaginait les pire complots, qui chaque matin engueulait Allah comme s’il était son égal, ne faisait plus ses prières, ne faisait plus rien. Lui qui si soigneux, avait vu tout son comportement changer sans s’en rendre compte, en proie à une souffrance débordante. Ses toiles étaient pleines de cette incompréhension qui avait un moment heurté les amateurs d’art moderne, avant qu’il ne soit acclamé et excusé. Un artiste est toujours meilleur soit une fois mort, soit en passe de se suicider, pensait avec noirceur Latifa, une pointe d’amertume plantée en son sein. Ah, cela faisait un an qu’ils avaient divorcé, mais toujours lui envoyait la même lettre, à quelques mots près, comme bloqué dans un présent fait de passé et d’avenir. Alors, du même geste que toute les autres fois, Latifa plia délicatement la lettre, et la jeta. Ils ne s’aimaient plus, parce que leur histoire n’était faite que de mauvais souvenirs. Sa joie d’être comme tous les hommes de sa famille, fier d'être enfin, même si elle n'était qu’une inconnue à ce moment là. Tout fut brisé, et Latifa n’avait même plus honte de s’être remise debout après le déni de son mari, qui l’avait froidement répudiée, dans sa folie étrangère. Qu’il crève, c’était le seul remède que voyait la marocaine au mal de son ancien amant. Latifa non plus, ne l'aimait plus.
Dernière édition par Azûlay Y. Sanhadji le Jeu 3 Déc - 17:03, édité 5 fois | |
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Azûlay Y. Sanhadji
NOMBRE DE MESSAGES : 3 DATE D'INSCRIPTION : 02/12/2009 PSEUDO : Patate.
CARNÉ DE ESTUDIANTE carnet d'adresses: nationalité: Saoudienne.
| Sujet: Re: Azûlay.Sanhadji [u ; c] Mer 2 Déc - 22:32 | |
| . . Écrire ici pleins de petits trucs à savoir sur votre personnage. Des petits trucs qui font de lui quelqu'un d'unique. Est-ce qu'il trie ses dragibus et ses M&M's? Est-ce qu'il fait la collection des peluches? A-t-il un poisson rouge? Si oui, quel âge a-t-il? |
Cette partie a été mise en place pour que vous puissiez décrire le caractère de votre personnage, en une dizaine d'adjectif. |
. . Pseudo & âge :Où as-tu connu le forum? :Code du règlement please :T'as le dernier mot. Vas-y, défoule-toi :
Dernière édition par Azûlay Y. Sanhadji le Jeu 3 Déc - 0:56, édité 2 fois | |
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Azûlay Y. Sanhadji
NOMBRE DE MESSAGES : 3 DATE D'INSCRIPTION : 02/12/2009 PSEUDO : Patate.
CARNÉ DE ESTUDIANTE carnet d'adresses: nationalité: Saoudienne.
| Sujet: Re: Azûlay.Sanhadji [u ; c] Mer 2 Déc - 23:10 | |
| Merci à vous deux pour votre salut et vos encouragements ! Content que mon début de fiche plaise, je suis bien parti, cela veut dire. x3 *continue sa fiche, espérant que la suite sera tout aussi bien* | |
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Belen Paz-Alvares
NOMBRE DE MESSAGES : 33 DATE D'INSCRIPTION : 01/12/2009 PSEUDO : FANNY JUKEBOX : Apologize, Think Twice, Bad Romance, Russian Roulette, Letters From The Sky.
CARNÉ DE ESTUDIANTE carnet d'adresses: nationalité: espagnole
| Sujet: Re: Azûlay.Sanhadji [u ; c] Mer 2 Déc - 23:28 | |
| Bienvenue tu écris vraiment bien dis donc | |
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Winnie Fitch-Méndez CORAZÓN ♦ And that's what make my life so fucking fantastic
NOMBRE DE MESSAGES : 154 DATE D'INSCRIPTION : 08/11/2009 PSEUDO : Cheeky (a) JUKEBOX : TIMBALAND FEAT. MILEY CYRUS ♦ We belong to music
CARNÉ DE ESTUDIANTE carnet d'adresses: nationalité: anglaise (espagnole)
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Oakley B. Whitaker
NOMBRE DE MESSAGES : 45 DATE D'INSCRIPTION : 02/12/2009 PSEUDO : MzelleTracy
CARNÉ DE ESTUDIANTE carnet d'adresses: nationalité: Anglaise.
| Sujet: Re: Azûlay.Sanhadji [u ; c] Jeu 3 Déc - 20:16 | |
| Bienvenue sur HP et bonne continuation ! | |
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